Vous, je ne sais pas, mais moi, il est clair que je vais reprendre mon vélo. Il est fiable sur le temps de trajet, moins cher qu’une automobile, même pour les vélos électriques haut de gamme, et il pollue très peu.
Sur le plan sensoriel aussi j’y trouve mon compte, je prends des chemins plus agréables, et je fais de l’exercice. Le déplacement à vélo a aussi posé son lot de contraintes au début. Simplement, ces contraintes ont été intégrées à mon organisation, comme celles liées à l’automobile l’étaient auparavant. Elles me paraissent aujourd’hui bien moins lourdes.